« Volcan » et « Exil » sont deux livres qui m’ont impressionnée profondément. Je croyais savoir de l’émigration allemande que certains juifs riches avaient réussi quitter le pays à temps grâce à leur argent et leurs relations et que la plupart des juifs qui ne disposaient pas de ces moyens furent assassinés dans les camps de concentration.
Ces livres m’ont montrée une réalité qui j’ignorais. L’histoire des émigrants: des juifs, bien sûr mais aussi des autres allemands qui ne pouvaient pas supporter l’atmosphère nazie: les communistes, les homosexuelles et les libres penseurs.
Après de les avoir lus, je ne sais pas s’il reste encore autre chose à dire à propos de ce sujet.
Cette semaine, je parlerai de « Volcan », de Klaus Mann et la prochaine semaine j’aborderai du livre« Exil », de Lion Feuchtwanger
Thomas Mann affirma qui il aimait le livre de son fils même si le livre, à son avis, était trop rapidement écrit. Moi, je crois que Klaus Mann écrit avec le rythme approprié et inclus avec la confusion nécessaire pour décrire de manière précise les temps qui il raconte. La grandeur du livre habite justement là.
« Volcan » raconte la vie d’une pluralité d’exilés en temps, perspectives et lieus différents. L’action se développe à Genève, Paris, en Hollande et en Amérique sans oublier la diversité de leurs attitudes et de leurs circonstances: la solitude de certaines femmes de la bonne société qui dans l’exil ne sont pas acceptées par ses égaux mais qui ne veulent pas se joindre avec personnes de moindre niveau social; le désir d’aventure qui encourage à autres à se inscrire dans Les Brigades Internationales; la naïveté de quelques qui croient toujours à l’amour et qui seulement comprennent leur erreur quand ils ont été trahis par leur amant; la folie; l’autodestruction au moyen de la consommation des drogues; le succès de certains qui réussissent de la forme la plus inouïe: restaurants en Chine, articles dans le journal, conférences…
Mais les ambitions de Klaus Mann vont plus loin. Il ne s’agit pas de montrer seulement la situation d’un groupe social. Son intention est exposer le panorame complet de l’émigration. C’est pour cette raison pour laquelle il montre aussi la vie des exilés russes qui étaient déjà à Paris quand les allemandes (les émigrants et les nazis) y arrivèrent. Les conditions de vie de ce groupe sont plus confortable que ceux des récemment arrivés, mais ils ont aussi des problèmes. Leurs enfants sont nés à Paris et y ont grandi. Cependant ils se sentent russes et écoutent l’appel du même communisme qui a porté leurs parents à l’exil. Conflit générationnel? Idéalisme politique? Peut-être un peu de tout.
Dans son désir de raconter la totalité du monde de l’émigration, Klaus Mann décrit ce qui signifie l’Amérique (États- Unis) pour les poursuivis de l’Europe qu’y arrivent sans ressources économiques. Certains la considerent comme l’avenir ; outres continuent en revanche la recherche du sens de la propre existence. Il ne manquent pas ceux qui doivent affronter le désenchantement et la conscience d’être trop vieux ou trop européennes pour s’adapter à une société qu’ils ne comprennent pas et dans laquelle ils ne réussissent pas de s’intégrer.
La fin du livre est la seule fin croyable : l’expérience mystique avec tout celui qu’elle porte d’espoir.
Peut-être que beaucoup de lecteurs considèrent que tel final est affecté et inattendu. Cependant, dans telles circonstances, quand le monstre du la guerre, de la haine, de la folie, envahit tout ce qu’il trouve, est-ce que reste un autre chemin qui ne soit pas le chemin de l’espoir chez un Dieu rédempteur, la foi chez un Dieu qui élève les âmes et qui nous remplit de la lumière spirituelle?
A bientôt..
Isabel Viñado
Gascón
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